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poésie de l'ours: Loup solitaire
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La pression produit le diamant brut, ensuite c’est à nous d'en faire quelque chose. Août 22, 2006. Loup solitaire qui attire le regard. Impose la distance sans le vouloir. Il a tant blessé d’imprudents. Ceux qui l’ont aimé, ceux qui l’ont approché. Il est bien seul aujourd’hui. À panser les blessures qu’il a causées. Car chacune d’elles l'a mutilé. Et de son sang la terre a rougi. Cette bête tremble dans le noir. Inquiète pour sa prochaine victime. Sachant qu’il lui est impossible. Mais pas ce qu'on sera.
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poésie de l'ours: mai 2008
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La pression produit le diamant brut, ensuite c’est à nous d'en faire quelque chose. Mai 12, 2008. Les dégâts de l’hiver. Que l’homme n’hiberne pas. Ne vont pas se redresser. Des forêts sont mortes. Avec tout ce qui vivait en elle. Mais la vie est forte. Elle nous offre sa musique. Ressac, huard, éclair. Elle nous enivre de fragrance. D’en apprécié les nuances. Et en si peu de temps. Elle se pare pour l’amour. À chaque levé du jours. Je veux être sont amant. S'abonner à : Messages (Atom).
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poésie de l'ours: septembre 2008
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La pression produit le diamant brut, ensuite c’est à nous d'en faire quelque chose. Septembre 27, 2008. Qu’il est facile. De se laisser distraire. De tourbillonner comme ce courant d’air. Qui pourtant ne va nulle part. Pour répondre à de faux besoins. S’inventer des histoires. Pour justifier avec soin. Que la peur n’a rien à voir. Avec ses airs de contrôle. Dans cette forêt mature. M’amène à réfléchir. Ces chênes qui me lancent des glands. Au moindre coup de vent. Semblent vouloir me dire.
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poésie de l'ours: mars 2008
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La pression produit le diamant brut, ensuite c’est à nous d'en faire quelque chose. Mars 12, 2008. On ne pleure pas. Même lorsqu’elle se fane. Elle décuple en silence. Son fruit, sa semence. Dans ta chambre intérieure. Et laisse la terre. Peut-être fut-elle le leurre. Qui t’attira au jardin. Pour qu’à chaque matin. Tu respires la paix. À l’esprit remet. Mars 05, 2008. Se dessine à mes yeux. Et de crainte un peu. Pour ce qu’il y a … devant. Confiant que le bonheur. Me cherche en ce moment.
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poésie de l'ours: Notre mère
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La pression produit le diamant brut, ensuite c’est à nous d'en faire quelque chose. Octobre 29, 2008. Nous transporte à travers le vide. Nous couvre sans nous voiler. Nous borde sans rechercher. Mais reçoit baisers arides. D’être occupé à faire du bruit. On suce toute parcelle de vie. Méprisant l’essence de ses ressources. Notre mère, la terre. Sa médecine serait de nous tuer. S'y est-elle déjà engagée? Mon cœur me dit. Qu’une mère va tuer son fils. Pour une bouffée d’air. N’est-ce pas triste.
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poésie de l'ours: juillet 2008
http://makwa.blogspot.com/2008_07_01_archive.html
La pression produit le diamant brut, ensuite c’est à nous d'en faire quelque chose. Juillet 07, 2008. Dont les hommes sont capables. Et pour peu que je la nourris. Mon cœur me fredonne. De vagues airs de démence. Il n’y a que contre moi. Ainsi personne ne tremble. C’est ma loi. Ma violence s’estompe. En fait je réalise. Qu’elle m’a simplement quitté. Accompagnée de ma honte. C’est un bien bel espace. Qu’ils m’ont laissé. Que je vais m’empressé. De meubler avec grâce. S'abonner à : Messages (Atom).
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poésie de l'ours: Rassasié
http://makwa.blogspot.com/2008/09/rassasier.html
La pression produit le diamant brut, ensuite c’est à nous d'en faire quelque chose. Septembre 27, 2008. Qu’il est facile. De se laisser distraire. De tourbillonner comme ce courant d’air. Qui pourtant ne va nulle part. Pour répondre à de faux besoins. S’inventer des histoires. Pour justifier avec soin. Que la peur n’a rien à voir. Avec ses airs de contrôle. Dans cette forêt mature. M’amène à réfléchir. Ces chênes qui me lancent des glands. Au moindre coup de vent. Semblent vouloir me dire. Humm mon amie,.
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poésie de l'ours: Ma violence
http://makwa.blogspot.com/2008/07/ma-violence.html
La pression produit le diamant brut, ensuite c’est à nous d'en faire quelque chose. Juillet 07, 2008. Dont les hommes sont capables. Et pour peu que je la nourris. Mon cœur me fredonne. De vagues airs de démence. Il n’y a que contre moi. Ainsi personne ne tremble. C’est ma loi. Ma violence s’estompe. En fait je réalise. Qu’elle m’a simplement quitté. Accompagnée de ma honte. C’est un bien bel espace. Qu’ils m’ont laissé. Que je vais m’empressé. De meubler avec grâce. A bientot peut etre. Tu c, on peut tr...
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poésie de l'ours: avril 2008
http://makwa.blogspot.com/2008_04_01_archive.html
La pression produit le diamant brut, ensuite c’est à nous d'en faire quelque chose. Avril 20, 2008. Un rythme me berce. La rivière m’appelle. Le rythme de ce cœur. Comme le battement accordé. À l’effort de l’amour. Telle la passion du baiser. D’une nuit de douceur. C’est ce bonheur préparé. Qui me donne des ailes. Tant que faire se peut. Sur ce puissant élément. Capable du calme plat. Avril 08, 2008. Risque peu de choquer. J’ai mon permis! De toute façon ce cerf. De mourir de vieillesse. Avril 06, 2008.
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poésie de l'ours: janvier 2008
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La pression produit le diamant brut, ensuite c’est à nous d'en faire quelque chose. Janvier 30, 2008. Nous sommes la peste. Tandis que le monde s’enflamme. Et l’homme ne voit le charme. Que de sa seule liberté. La vie, la nature, les animaux. N’y ont point droit. Loin d’en être les gardiens. On s’en fait les bourreaux. De par nos choix. Forer, déraciner, brûler. Tuer pour le sport. Tout cela nous épuise. Nous sommes si occupés. Pourquoi protéger la beauté? Pourquoi préserver la vie? Nous sommes la peste!
